Confraternité Tag Archive

Quel fucking rapport avec la France ?

Avocat du diable 11

Lire l’épisode précédent : où l’on fait escale chez les jésuites au Paraguay

Sur le blog d’un autre confrère — puisque j’ai commencé à confraterniser ainsi avec les écrivains que j’évoque ici, pourquoi ne poursuivrais-je pas sur ma lancée ? —, talentueux diariste en ligne (entre autres — c’est en tout cas la facette de son oeuvre qu’il m’arrive de fréquenter) qui a le don d’accoler les uns à la suite des autres les menus faits et observations du quotidien en les présentant nus, épurés de tout contexte superflu, vus sous un éclairage oblique qui leur confère une couleur absurde et désenchantée, je vois évoqué le système de retraite par capitalisation du Pérou — oui oui, et voyez au passage comme cet exemple s’inscrit merveilleusement dans mon essai-feuilleton qui fait la part belle, du fait de mon idiosyncrasie, à l’histoire sud-américaine.

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À la recherche d'une forme

13 mai 2025

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Aquarelle et chasse aux papillons

Avocat du diable épisode 8

Lire l’épisode précédent : où l’on ne choisit pas ses exemples au hasard

J’ai lu il y a quelques temps sur le blog de l’un de ces estimés confrères — puis-je l’appeler confrère ? — une envolée à l’emporte-pièce du type — citation non exacte, c’est moi qui reformule approximativement de mémoire — « de toute façon tout le monde sait très bien qu’on pourrait tous se contenter de travailler trois heures par jour » — sous-entendu ça suffirait pour que tourne la boutique, ou le monde, ou la vie, s’il n’y avait pas cette satanée aliénation capitaliste, néolibérale, technofasciste (voilà une nomenclature récente qu’auront sans doute inspirée Musk et les autres magnats libertariens de la Silicon Valley), sous-entendu si le système ne nous forçait pas à nous tuer à la tâche pour engraisser quelques milliardaires — et peut-être sous-entendait-il aussi, mais je n’y mettrais pas ma main à couper, car dans un autre billet il vitupérait violemment l’intelligence artificielle, que toute corvée devrait déjà être prise en charge par des robots, ou plus vaguement par le progrès technologique ; en tout cas je me suis alors demandé si une énormité si puérilement désinvolte s’autorisait de quelque licence poétique ? Car une chose est sûre : rien de réel ne saurait la justifier.

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À la recherche d'une forme

11 avril 2025

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