Deux ânes stoïques dans les marais salants.

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Footing matinal sur le rivage. Sur la plage encore déserte, deux étudiants, l’air pâle mais exalté, entourés de bières vides, ont une discussion animée. Épilogue sans doute d’une nuit de fête à laquelle on ne se résout pas à mettre un terme.

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Un trompettiste caché quelque part entre les arbres fait résonner toute la pinède de ses solos de jazz.

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Vanitas… Le château de sable patiemment fortifié, englouti en deux coups de langue par la marée. Ainsi passent l’histoire et les hommes : rien ne résiste à l’érosion naturelle.

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Aux gobelets en plastique consignés à l’effigie de la fête de Lamoura (Haut-Jura, août 2023), nous adjoignons désormais ceux de l’Association de la Fête du Port de Morin (AFPM). Année après année, notre collection s’enrichit.

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Mieux valent encore les algues qui, le matin, recouvrent parfois certaines plages du littoral atlantique que les méduses urticantes qui patrouillent en rangs serrés dans la baignoire Méditerranée.

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Changement de décor : dans le vol Paris-Bilbao de ce dimanche matin, nombreux sont les espagnols qui rentrent visiblement émerveillés de leur séjour dans la ville lumière. Quand je dis ville lumière, je veux bien sûr parler de Disneyland, dont ils serrent quasiment tous avec tendresse une peluche souvenir entre les bras.

Last modified: 30 août 2025